C'est désormais une habitude :
A l'arrivée du mois de juin,
Après un hiver doux ou rude,
Ce bon vieux festival revient !
Les acteurs sont à nouveau là :
Scolaires, amateurs et puis pros
Se succèderont sur le plateau...
Scènes Sissonnaises acte III !
Le F.S.E. qui organise
Remercie tous les partenaires,
Ceux qui regardent, aident et cotisent...
Sans eux rien n'aurait pu se faire !
Mylène Pizzol-Barth
C'est un dispositif animé par un enseignant,
Jean-Noël Parmentier,
et un professionnel,
Jean-Louis Wacquiez (compagnie Nomades),
subventionné par l'Education Nationale, la D.R.A.C.
et le Conseil Général de l'Aisne.
C'est un conte dans lequel des acteurs masqués,
des marionnettes petites et grandes,
ainsi que des statues imposantes,
transportent le spectateur dans un monde
de féérie enchanteresse
et de farce satirique et comique.
Prise d'otages est une variation surprenante sur un thème classique où se rencontrent Colombine, Pierrot et Polichinelle. C'est presque comme à la Commedia dell'arte... enfin presque !
Recherche future star ! - « Recherchons jeune homme ou jeune femme pour un rôle dans un film ; se présenter le 9 juin 2011, muni d'un texte à votre convenance. » Voilà la petite annonce publiée par un réalisateur de cinéma, venez nombreux assister aux auditions publiques... un moment à ne rater sous aucun prétexte !
Groupe animé par Véronique Gadret-Joder.
Des Cendres et des lampions - Rencontre de Papa et Maman en temps de guerre.
Les Amantes - (début de l'adaptation par Joël Jouanneau du roman d'Elfriede Jelinek) Tout est beau dans ce pays où on a bâti une usine où travaillent les femmes dont c'est le seul destin. Brigitte et Paula vont essayer d'échapper à cette vie programmée d'avance. Brigitte doit à tout prix épouser Heinz et Paula rêve d'ailleurs.
Des années sur scène à servir les textes des autres,
et voilà qu'aujourd'hui Julien Pantalone, 85 ans, comédien,
décide de monter SON spectacle.
Enfin ! Tout est prêt,
mais face à son public,
il réinvente, digresse, improvise
et nous parle de la vie tout simplement.
Julien Pantalone est le premier spectacle en solo
d'Hacid Bouabaya et de son double Julien Pantalone,
sous le masque duquel il a déjà interprété
de nombreux autres spectacles de la compagnie.
Mise en scène de Marc Douillet.
« Tant pis, merci, pardon. » Cette formule de l'auteur résume parfaitement la pièce. Comme si la pudeur et l'impudeur de ce texte lui servaient de mise à distance pour nous livrer une part de sa nuit. Né en 1939, Grumberg n'a pas connu son père, mort en déportation. Ce père hante la pièce. Le personnage central, Gérard B., répète le rôle d'Hamlet de Shakespeare, « le fils des fils ». Il est traduit en justice parce qu'il a commis un meurtre... en rêve. Il est même suspecté d'inhumanité parce qu'il n'éprouve aucun remord. Gérard B. s'enfonce alors dans le cauchemar. Seul le spectre de son père revenant rôder certaines nuits de la Seconde Guerre mondiale pourra mettre un terme à ce procès.
« Rêver peut-être » est une pièce pour s'amuser à jouer entre rêve et réalité. Le décor modulable, réalisé à partir de caisses et de palettes de bois de récupération, permet en quelques mouvements de construire les différents espaces de jeu tout en évoquant la destination définitive du père de Gérard.
Club animé par Régis Barth, Cindy Navarette,
Jean-Noël Parmentier et Mylène Pizzol-Barth.
C'est une fable sur la lutte d'un paysan
contre l'implantation d'une « marmite culinaire »
(d'autres disent « nucléaire »)
dans le royaume de Hyacinthe Premier...