Ce ne serait que des fadaises
De penser qu'aux Scènes Sissonnaises
Ce sont les chiffres qui nous plaisent :
Trop carrés pour prendre nos aises !
Mais "cinq" on dit que c'est un chiffre rond
Alors pour une fois arrondissons...
Le dos et plions-nous pour l'occasion
Aux numérales observations.
Cinq ans de festival :
Dix ans de représentations !
Cinq ans de festival
Et cette année nous accueillons
Six théâtrales délégations,
Issues de cinq divers bastions
De la Nationale Education !
Cinq ans de festival
Et une même vocation
Pour cette manifestation :
Trop carrés pour prendre nos aises !
Mêler, sans plus de prétentions,
Toutes ces scolaires prestations
Avec d'adultes productions :
Amateurs, gens de profession,
Qu'importe le flacon
Pourvu qu'on ait la passion !
Cinq ans de festival
Et une détermination
Outrepasser la convention...
Issues de cinq divers bastions
Du cinquième acte théâtral !
Mylène Pizzol-Barth
Personnages burlesques,
hilarants, poétiques,
les clowns débarquent parmi nous
à travers un ensemble de numéros
écrits ou improvisés...
Il s'agit d'un ensemble de saynètes mettant en scène une jeune fille qui évoque tous ses problèmes et tracas : son petit frère dont elle doit s'occuper, sa mère avec qui elle a des problèmes de communication, son père boucher qui a un penchant pour l'alcool...
Etats d'âmes, éclats de vies ; acérés, polis, qui rassurent ou qui blessent, de certains enfants, d'hier, d'aujourd'hui, de toujours. Quand se crée la réflexion, quand se confrontent les milieux sociaux et les origines, entre dénuement et société de consommation.
De la gravité de blessures intimes, familiales, ethniques, à la liberté d'une jeunesse tournée vers l'amitié et l'avenir.
Un parcours à travers des extraits de Françoise du Chaxel, Jehan Rictus (adapté par l'Échappée), G. Bouillon, et G. Moncomble.
Rouge noir et ignorant, Pièces de guerre, d'Edward Bond
Récit de femme IV, Le Réveil, de Dario Fo
Après la pluie, de Sergi Belbel
Les dames buissonnières, de Marianne Ostreicher-Jourdain
Débrayages, de Remi De Vos
Roberto Zucco, de Bernard-Marie Koltès
Le petit peuple de Pollénie est en émoi, car une vilaine guêpe a pris le pouvoir par la force en transformant ses habitants en statues de pierre.
Elle règne désormais en maître sur ce qu'elle nomme elle-même « Son petit peuple de pierre ».
Enfin le croit-elle ! Car notre peuple, la nuit, parle, bouge. L'âme des pierres se révèle... et la nature va bientôt reprendre ses droits !
ANNULÉ pour cause de décès du metteur en scène.
Le regard subjectif de femmes sur leur couple. Depuis les petites tensions ordinaires et quotidiennes, les égratignures insignifiantes qui s'accumulent, qui s'empilent, qui épuisent ; jusqu'à la déchirure, l'insupportable, le drame.
Elles n'ont rien vu venir... Rien !
Mais au fond, il ne s'est rien passé... Rien !
Un spectacle qui se développe par alternance : du quotidien au loufoque, le l'invraisemblable au réel, de l'improbable à l'évident.
C'est rien est un spectacle librement nourri de textes de Guy Foissy, Jean-Michel Ribes, Danielle Sallenave, Jean Tardieu, Roland Topor.
Tatiana et Mickaël, deux adolescents
jusque-là sans problème,
ont décidé de ne plus parler.
Parents, enseignants, psychologue, amis
essaient désespérément de les faire parler,
mais les deux jeunes
restent plongés dans leur mutisme...
Pire : ils font des émules.
Un portrait de famille mais peut-être pas de la famille idéale.
Louise, la mère, est femme de ménage abandonnée par son mari. Avec un fils suicidaire, un autre plutôt loubard et une fille à nouveau enceinte d'un copain qui ne fait pas grand chose, elle essaie de tenir en équilibre cette fragile embarcation.
L'arrivée d'une jeune Arabe dans la famille va mettre au jour un racisme primaire et ses dérives.
Denise Bonal parle des petites misères du quotidien, celles qui mènet parfois aux drames. rien cependant n'est vraiment triste sous la plume de Denise Bonal, car le chômage, le suicide manqué du fils ou le racisme latent s'ajoutent sans hiérarchie aux courses à faire, au repas à préparer, au chien à surveiller.
Une comédie noire qui séduit tous les publics.
Quisaitout et Grobêta entretiennent une relation maître-valet.
Quisaitout croit tout savoir et le fait bien sentir à Grobêta qui croit ne rien savoir.
Mais l'arrivée d'une lettre invitant Monsieur Quisaitout au bal de la Baronne va bouleverser leur vie...
Entreront dans la danse de la Baronne une pianiste, un homme étrange, des anges...
Tout comme les personnages, les spectateurs ne sont pas au bout de leurs surprises !